Pour un BIM raisonné
Le BIM, pour « Building Information Model/Modeling/Management », est de plus en plus répandu. Cette méthode de travail s’appuie sur une représentation numérique du bâtiment composée d’une ou plusieurs maquettes 3D renseignées de nombreuses données et accompagnées de tableurs et autres documents par centaines. Ajoutons à cela l’aspect collaboratif du processus orchestrant les interactions entre un nombre d’intervenants toujours plus grand, le projet peut rapidement devenir un joyeux bazar.
Penser l'environnement de travail : le concept 3P
Dans un monde qui change brutalement, l’utopie parait pertinente pour penser l’évolution des environnements de travail et le concept 3P (People, Planet, Profit) pourrait constituer un cadre de réflexion approprié. People (les gens) s’intéresse au développement humain : les valeurs, les conditions de vie, l’éducation ou l’impact sur les communautés. Planet mesure l’impact des activités sur les ressources naturelles, la pollution et la biodiversité. Profit regroupe des notions comme la création de valeur et le profit.
Réparer la ville
Un constat évident s’impose : c’est autour des enjeux environnementaux que doit s’articuler la transformation de la ville. Rappelons que le virage est à prendre dès maintenant avec des objectifs de réduction de l’empreinte carbone auxquels l’ensemble des producteurs de la ville doivent contribuer. Et nous sommes tous à notre niveau des contributeurs. La ville doit être faite par tous et pour tous dans une logique de convergence alors que les divergences restent souvent fortes parmi les différentes parties prenantes.
Vous avez dit bien-être en ville ?
La crise sanitaire que nous traversons met en évidence certains désirs des Français. Les confinements ont révélé des maux urbains et les acteurs territoriaux s’interrogent sur les conditions de vie en ville et sur la fin de la métropolisation. Une question émerge : celle du bien-être des citadins. Qu’entend-on par bien-être ? Comment le définir ? Comment relever les éléments territoriaux constitutifs du bien-être ?
Le bureau fermé individuel : dinosaure ou phénix ?
Après avoir supprimé les bureaux individuels, on découvre à nouveau, dans les environnements de travail d’un certain nombre de grands utilisateurs, des espaces ressemblant à… des bureaux individuels. Le sondage Mon bureau post-confinement III (auprès de 1 868 personnes, avril 2021) de la chaire ESSEC Workplace Management, indique d’ailleurs que 63 % des répondants préféreraient travailler dans un bureau fermé, individuel ou partagé. Alors, que penser du bureau individuel ?